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Légendes de la soul - James Brown

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Légendes de la soul - James Brown Empty Légendes de la soul - James Brown

Message  Nonodesancerre Mer 9 Nov - 15:05



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♫ ♫ ♬ ♬ FONDUS DE MUSIQUE ♫ ♫ ♬ ♬




Légendes de la soul - James Brown 73299216

Mister Dynamite est né à Augusta (Géorgie) le .. en fait personne n'en sait trop rien car il n'a jamais voulu révéler sa véritable date de naissance que l'on situe entre 1928 et 1933 dans une famille d’ouvriers agricoles, James Brown travaille dès son plus jeune âge pour assurer sa survie.

Tour à tour rabatteur de prostituées, cireur de chaussures et laveur de voitures, ce jeune homme passionné par le base-ball et par la boxe qu’il pratique assidûment) tente de faire carrière dans le sport. Mais, après avoir gagné un concours de chant (il a également appris à jouer de la batterie, de l'orgue et du piano), il se tourne résolument vers une carrière de chanteur, interrompue par un premier séjour en prison.



Une fois libéré, il fonde son propre groupe, The Famous Flames, et signe un contrat avec King Records. Il obtient son premier succès en 1956 avec « Please, Please, Please », où le chanteur, en s’émancipant de sa formation gospel, se rapproche de Little Richard : le chant cède la place aux ahanements, aux grognements et aux cris. Cette première partie de carrière placée sous le signe du rythm’n’blues atteint son apogée avec Live at The Apollo (1962). Véritable bête de scène, James Brown gagne à cette époque le surnom de « Mr. Dynamite » en s’appropriant la scène et le show grâce à un jeu de jambes extraordinaire , une énergie et une agilité hors du commun.

Légendes de la soul - James Brown 73299217

À partir du milieu des années soixante et notamment de la chanson « Out of Sight », James Brown s’éloigne définitivement des canons du rythm’n’blues. Il entreprend une remontée musicale vers les racines de la musique afro-américaine. La dimension rythmique devient prépondérante : « Sex Machine », la composition phare emblématique de la naissance du funk, est fondée sur la répétition hypnotique d’un riff, indéfiniment joué sur un seul accord.

Légendes de la soul - James Brown 73299218

Symbolisant l’homme afro-américain dans sa plénitude et sa fierté, James Brown s’impose sans rien devoir aux règles « blanches » du show-business. Il est naturellement perçu comme un porte-parole de sa communauté et le fer de lance de la lutte anti-ségrégationniste (« I’m Black – Say It Loud – Say It Proud » devient en 1968 l’hymne des Blacks Panthers). Il grave à cette époque d’innombrables classiques comme « I Got You (I Feel Good) », la ballade « It’s Man’s Man’s Man’s World » ou « Papa’s Got a Brand New Bag ».



Il connaît une décennie soixante-dix triomphale grâce aux chansons « Hot Pants », « Funky President », « Talking Loud and Saying Nothing », « I Got Ants in My Pants » et grâce à une excellente formation funky, The JB’s (avec notamment le saxophoniste ténor Maceo Parker et le bassiste William « Bootsy » Collins, futur musicien de George Clinton).

Légendes de la soul - James Brown 73299219

L’arrivée du disco, dont il est pourtant un des instigateurs, interrompt brusquement sa carrière, et James Brown se retrouve sans aucun contrat. Il participe au film les Blues Brothers (1980, John Landis) et fréquente la section rythmique formée par Sly Dunbar et Robbie Shakespeare, sans parvenir à enregistrer. Mais c’est le rap qui fait le plus appel au père du funk — le répertoire de James Brown étant l’objet de nombreux échantillonnages numériques. Il enregistre même en duo avec Africa Bambataa (« Unity (The Third Coming) »).



En 1988, Brown est condamné à six ans de prison pour violence et délit de fuite lors d'une course-poursuite avec la police. Mis en liberté conditionnelle en 1991, il reprend sa carrière en enregistrant Love Over-Due la même année. Il collabore avec Soul II Soul pour enregistrer l’album Universal James (1992).

" frameborder="0" loading="lazy" allowfullscreen >

Pendant les années quatre-vingt, James Brown encourage publiquement la rivalité entre Prince et Michael Jackson, qu'il considère comme ses successeurs. Il a publié son autobiographie en 1986, James Brown, The Godfather of Soul.

James Brown nous a quitté le le 25 décembre 2006 à Atlanta (Géorgie).

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Message  Alexandrina Munser Mer 9 Nov - 23:52

Nonodesancerre a écrit:

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Mister Dynamite est né à Augusta (Géorgie) le .. en fait personne n'en sait trop rien car il n'a jamais voulu révéler sa véritable date de naissance que l'on situe entre 1928 et 1933 dans une famille d’ouvriers agricoles, James Brown travaille dès son plus jeune âge pour assurer sa survie.

Tour à tour rabatteur de prostituées, cireur de chaussures et laveur de voitures, ce jeune homme passionné par le base-ball et par la boxe qu’il pratique assidûment) tente de faire carrière dans le sport. Mais, après avoir gagné un concours de chant (il a également appris à jouer de la batterie, de l'orgue et du piano), il se tourne résolument vers une carrière de chanteur, interrompue par un premier séjour en prison.



Une fois libéré, il fonde son propre groupe, The Famous Flames, et signe un contrat avec King Records. Il obtient son premier succès en 1956 avec « Please, Please, Please », où le chanteur, en s’émancipant de sa formation gospel, se rapproche de Little Richard : le chant cède la place aux ahanements, aux grognements et aux cris. Cette première partie de carrière placée sous le signe du rythm’n’blues atteint son apogée avec Live at The Apollo (1962). Véritable bête de scène, James Brown gagne à cette époque le surnom de « Mr. Dynamite » en s’appropriant la scène et le show grâce à un jeu de jambes extraordinaire , une énergie et une agilité hors du commun.

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À partir du milieu des années soixante et notamment de la chanson « Out of Sight », James Brown s’éloigne définitivement des canons du rythm’n’blues. Il entreprend une remontée musicale vers les racines de la musique afro-américaine. La dimension rythmique devient prépondérante : « Sex Machine », la composition phare emblématique de la naissance du funk, est fondée sur la répétition hypnotique d’un riff, indéfiniment joué sur un seul accord.

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Symbolisant l’homme afro-américain dans sa plénitude et sa fierté, James Brown s’impose sans rien devoir aux règles « blanches » du show-business. Il est naturellement perçu comme un porte-parole de sa communauté et le fer de lance de la lutte anti-ségrégationniste (« I’m Black – Say It Loud – Say It Proud » devient en 1968 l’hymne des Blacks Panthers). Il grave à cette époque d’innombrables classiques comme « I Got You (I Feel Good) », la ballade « It’s Man’s Man’s Man’s World » ou « Papa’s Got a Brand New Bag ».



Il connaît une décennie soixante-dix triomphale grâce aux chansons « Hot Pants », « Funky President », « Talking Loud and Saying Nothing », « I Got Ants in My Pants » et grâce à une excellente formation funky, The JB’s (avec notamment le saxophoniste ténor Maceo Parker et le bassiste William « Bootsy » Collins, futur musicien de George Clinton).

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L’arrivée du disco, dont il est pourtant un des instigateurs, interrompt brusquement sa carrière, et James Brown se retrouve sans aucun contrat. Il participe au film les Blues Brothers (1980, John Landis) et fréquente la section rythmique formée par Sly Dunbar et Robbie Shakespeare, sans parvenir à enregistrer. Mais c’est le rap qui fait le plus appel au père du funk — le répertoire de James Brown étant l’objet de nombreux échantillonnages numériques. Il enregistre même en duo avec Africa Bambataa (« Unity (The Third Coming) »).



En 1988, Brown est condamné à six ans de prison pour violence et délit de fuite lors d'une course-poursuite avec la police. Mis en liberté conditionnelle en 1991, il reprend sa carrière en enregistrant Love Over-Due la même année. Il collabore avec Soul II Soul pour enregistrer l’album Universal James (1992).

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Pendant les années quatre-vingt, James Brown encourage publiquement la rivalité entre Prince et Michael Jackson, qu'il considère comme ses successeurs. Il a publié son autobiographie en 1986, James Brown, The Godfather of Soul.

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Message  Nonodesancerre Jeu 10 Nov - 7:00

Alexandrina Munser a écrit:
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Tour à tour rabatteur de prostituées, cireur de chaussures et laveur de voitures, ce jeune homme passionné par le base-ball et par la boxe qu’il pratique assidûment) tente de faire carrière dans le sport. Mais, après avoir gagné un concours de chant (il a également appris à jouer de la batterie, de l'orgue et du piano), il se tourne résolument vers une carrière de chanteur, interrompue par un premier séjour en prison.



Une fois libéré, il fonde son propre groupe, The Famous Flames, et signe un contrat avec King Records. Il obtient son premier succès en 1956 avec « Please, Please, Please », où le chanteur, en s’émancipant de sa formation gospel, se rapproche de Little Richard : le chant cède la place aux ahanements, aux grognements et aux cris. Cette première partie de carrière placée sous le signe du rythm’n’blues atteint son apogée avec Live at The Apollo (1962). Véritable bête de scène, James Brown gagne à cette époque le surnom de « Mr. Dynamite » en s’appropriant la scène et le show grâce à un jeu de jambes extraordinaire , une énergie et une agilité hors du commun.

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À partir du milieu des années soixante et notamment de la chanson « Out of Sight », James Brown s’éloigne définitivement des canons du rythm’n’blues. Il entreprend une remontée musicale vers les racines de la musique afro-américaine. La dimension rythmique devient prépondérante : « Sex Machine », la composition phare emblématique de la naissance du funk, est fondée sur la répétition hypnotique d’un riff, indéfiniment joué sur un seul accord.

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Symbolisant l’homme afro-américain dans sa plénitude et sa fierté, James Brown s’impose sans rien devoir aux règles « blanches » du show-business. Il est naturellement perçu comme un porte-parole de sa communauté et le fer de lance de la lutte anti-ségrégationniste (« I’m Black – Say It Loud – Say It Proud » devient en 1968 l’hymne des Blacks Panthers). Il grave à cette époque d’innombrables classiques comme « I Got You (I Feel Good) », la ballade « It’s Man’s Man’s Man’s World » ou « Papa’s Got a Brand New Bag ».



Il connaît une décennie soixante-dix triomphale grâce aux chansons « Hot Pants », « Funky President », « Talking Loud and Saying Nothing », « I Got Ants in My Pants » et grâce à une excellente formation funky, The JB’s (avec notamment le saxophoniste ténor Maceo Parker et le bassiste William « Bootsy » Collins, futur musicien de George Clinton).

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L’arrivée du disco, dont il est pourtant un des instigateurs, interrompt brusquement sa carrière, et James Brown se retrouve sans aucun contrat. Il participe au film les Blues Brothers (1980, John Landis) et fréquente la section rythmique formée par Sly Dunbar et Robbie Shakespeare, sans parvenir à enregistrer. Mais c’est le rap qui fait le plus appel au père du funk — le répertoire de James Brown étant l’objet de nombreux échantillonnages numériques. Il enregistre même en duo avec Africa Bambataa (« Unity (The Third Coming) »).



En 1988, Brown est condamné à six ans de prison pour violence et délit de fuite lors d'une course-poursuite avec la police. Mis en liberté conditionnelle en 1991, il reprend sa carrière en enregistrant Love Over-Due la même année. Il collabore avec Soul II Soul pour enregistrer l’album Universal James (1992).

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Pendant les années quatre-vingt, James Brown encourage publiquement la rivalité entre Prince et Michael Jackson, qu'il considère comme ses successeurs. Il a publié son autobiographie en 1986, James Brown, The Godfather of Soul.

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Message  sissi1955 Dim 8 Jan - 11:30

Nonodesancerre a écrit:

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Mister Dynamite est né à Augusta (Géorgie) le .. en fait personne n'en sait trop rien car il n'a jamais voulu révéler sa véritable date de naissance que l'on situe entre 1928 et 1933 dans une famille d’ouvriers agricoles, James Brown travaille dès son plus jeune âge pour assurer sa survie.

Tour à tour rabatteur de prostituées, cireur de chaussures et laveur de voitures, ce jeune homme passionné par le base-ball et par la boxe qu’il pratique assidûment) tente de faire carrière dans le sport. Mais, après avoir gagné un concours de chant (il a également appris à jouer de la batterie, de l'orgue et du piano), il se tourne résolument vers une carrière de chanteur, interrompue par un premier séjour en prison.



Une fois libéré, il fonde son propre groupe, The Famous Flames, et signe un contrat avec King Records. Il obtient son premier succès en 1956 avec « Please, Please, Please », où le chanteur, en s’émancipant de sa formation gospel, se rapproche de Little Richard : le chant cède la place aux ahanements, aux grognements et aux cris. Cette première partie de carrière placée sous le signe du rythm’n’blues atteint son apogée avec Live at The Apollo (1962). Véritable bête de scène, James Brown gagne à cette époque le surnom de « Mr. Dynamite » en s’appropriant la scène et le show grâce à un jeu de jambes extraordinaire , une énergie et une agilité hors du commun.

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À partir du milieu des années soixante et notamment de la chanson « Out of Sight », James Brown s’éloigne définitivement des canons du rythm’n’blues. Il entreprend une remontée musicale vers les racines de la musique afro-américaine. La dimension rythmique devient prépondérante : « Sex Machine », la composition phare emblématique de la naissance du funk, est fondée sur la répétition hypnotique d’un riff, indéfiniment joué sur un seul accord.

Légendes de la soul - James Brown 73299218

Symbolisant l’homme afro-américain dans sa plénitude et sa fierté, James Brown s’impose sans rien devoir aux règles « blanches » du show-business. Il est naturellement perçu comme un porte-parole de sa communauté et le fer de lance de la lutte anti-ségrégationniste (« I’m Black – Say It Loud – Say It Proud » devient en 1968 l’hymne des Blacks Panthers). Il grave à cette époque d’innombrables classiques comme « I Got You (I Feel Good) », la ballade « It’s Man’s Man’s Man’s World » ou « Papa’s Got a Brand New Bag ».



Il connaît une décennie soixante-dix triomphale grâce aux chansons « Hot Pants », « Funky President », « Talking Loud and Saying Nothing », « I Got Ants in My Pants » et grâce à une excellente formation funky, The JB’s (avec notamment le saxophoniste ténor Maceo Parker et le bassiste William « Bootsy » Collins, futur musicien de George Clinton).

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L’arrivée du disco, dont il est pourtant un des instigateurs, interrompt brusquement sa carrière, et James Brown se retrouve sans aucun contrat. Il participe au film les Blues Brothers (1980, John Landis) et fréquente la section rythmique formée par Sly Dunbar et Robbie Shakespeare, sans parvenir à enregistrer. Mais c’est le rap qui fait le plus appel au père du funk — le répertoire de James Brown étant l’objet de nombreux échantillonnages numériques. Il enregistre même en duo avec Africa Bambataa (« Unity (The Third Coming) »).



En 1988, Brown est condamné à six ans de prison pour violence et délit de fuite lors d'une course-poursuite avec la police. Mis en liberté conditionnelle en 1991, il reprend sa carrière en enregistrant Love Over-Due la même année. Il collabore avec Soul II Soul pour enregistrer l’album Universal James (1992).

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Pendant les années quatre-vingt, James Brown encourage publiquement la rivalité entre Prince et Michael Jackson, qu'il considère comme ses successeurs. Il a publié son autobiographie en 1986, James Brown, The Godfather of Soul.

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je ne connaissais rien de sa vie je viens d'apprendre pas mal de chose Légendes de la soul - James Brown 3525755801
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Message  bridelisse Dim 15 Avr - 0:12

Alexandrina Munser a écrit:
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Tour à tour rabatteur de prostituées, cireur de chaussures et laveur de voitures, ce jeune homme passionné par le base-ball et par la boxe qu’il pratique assidûment) tente de faire carrière dans le sport. Mais, après avoir gagné un concours de chant (il a également appris à jouer de la batterie, de l'orgue et du piano), il se tourne résolument vers une carrière de chanteur, interrompue par un premier séjour en prison.



Une fois libéré, il fonde son propre groupe, The Famous Flames, et signe un contrat avec King Records. Il obtient son premier succès en 1956 avec « Please, Please, Please », où le chanteur, en s’émancipant de sa formation gospel, se rapproche de Little Richard : le chant cède la place aux ahanements, aux grognements et aux cris. Cette première partie de carrière placée sous le signe du rythm’n’blues atteint son apogée avec Live at The Apollo (1962). Véritable bête de scène, James Brown gagne à cette époque le surnom de « Mr. Dynamite » en s’appropriant la scène et le show grâce à un jeu de jambes extraordinaire , une énergie et une agilité hors du commun.

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À partir du milieu des années soixante et notamment de la chanson « Out of Sight », James Brown s’éloigne définitivement des canons du rythm’n’blues. Il entreprend une remontée musicale vers les racines de la musique afro-américaine. La dimension rythmique devient prépondérante : « Sex Machine », la composition phare emblématique de la naissance du funk, est fondée sur la répétition hypnotique d’un riff, indéfiniment joué sur un seul accord.

Légendes de la soul - James Brown 73299218

Symbolisant l’homme afro-américain dans sa plénitude et sa fierté, James Brown s’impose sans rien devoir aux règles « blanches » du show-business. Il est naturellement perçu comme un porte-parole de sa communauté et le fer de lance de la lutte anti-ségrégationniste (« I’m Black – Say It Loud – Say It Proud » devient en 1968 l’hymne des Blacks Panthers). Il grave à cette époque d’innombrables classiques comme « I Got You (I Feel Good) », la ballade « It’s Man’s Man’s Man’s World » ou « Papa’s Got a Brand New Bag ».



Il connaît une décennie soixante-dix triomphale grâce aux chansons « Hot Pants », « Funky President », « Talking Loud and Saying Nothing », « I Got Ants in My Pants » et grâce à une excellente formation funky, The JB’s (avec notamment le saxophoniste ténor Maceo Parker et le bassiste William « Bootsy » Collins, futur musicien de George Clinton).

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L’arrivée du disco, dont il est pourtant un des instigateurs, interrompt brusquement sa carrière, et James Brown se retrouve sans aucun contrat. Il participe au film les Blues Brothers (1980, John Landis) et fréquente la section rythmique formée par Sly Dunbar et Robbie Shakespeare, sans parvenir à enregistrer. Mais c’est le rap qui fait le plus appel au père du funk — le répertoire de James Brown étant l’objet de nombreux échantillonnages numériques. Il enregistre même en duo avec Africa Bambataa (« Unity (The Third Coming) »).



En 1988, Brown est condamné à six ans de prison pour violence et délit de fuite lors d'une course-poursuite avec la police. Mis en liberté conditionnelle en 1991, il reprend sa carrière en enregistrant Love Over-Due la même année. Il collabore avec Soul II Soul pour enregistrer l’album Universal James (1992).

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Pendant les années quatre-vingt, James Brown encourage publiquement la rivalité entre Prince et Michael Jackson, qu'il considère comme ses successeurs. Il a publié son autobiographie en 1986, James Brown, The Godfather of Soul.

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Message  Nonodesancerre Dim 15 Avr - 10:03

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Tour à tour rabatteur de prostituées, cireur de chaussures et laveur de voitures, ce jeune homme passionné par le base-ball et par la boxe qu’il pratique assidûment) tente de faire carrière dans le sport. Mais, après avoir gagné un concours de chant (il a également appris à jouer de la batterie, de l'orgue et du piano), il se tourne résolument vers une carrière de chanteur, interrompue par un premier séjour en prison.



Une fois libéré, il fonde son propre groupe, The Famous Flames, et signe un contrat avec King Records. Il obtient son premier succès en 1956 avec « Please, Please, Please », où le chanteur, en s’émancipant de sa formation gospel, se rapproche de Little Richard : le chant cède la place aux ahanements, aux grognements et aux cris. Cette première partie de carrière placée sous le signe du rythm’n’blues atteint son apogée avec Live at The Apollo (1962). Véritable bête de scène, James Brown gagne à cette époque le surnom de « Mr. Dynamite » en s’appropriant la scène et le show grâce à un jeu de jambes extraordinaire , une énergie et une agilité hors du commun.

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